Petit cirque à l'indienne

Spectacle de marionnettes Kathputli

A la vue des spectateurs et du bout des doigts, le marionnettiste fait danser sa petite troupe de bois… 

C’est un petit cirque à l’indienne avec son jongleur, son acrobate à cheval, son magicien et sa danseuse…

Mais c’est bien plus encore !
Car le son d’un tambour fait surgir un drôle de guerrier rajpoute !
Et voilà que soudain une flûte nous transporte en plein désert et, comme un mirage, apparaît le charmeur de serpent…

Dans ce cabaret musical et visuel, les numéros, tour à tour drôles ou fascinants, offrent des prouesses dignes d’un véritable petit cirque de bois:

le jongleur jongle avec sa tête, le cavalier sert de monture à son cheval, la danseuse danse avec tant de vérité qu’on croit voir son visage s’animer…

Un spectacle envoûtant qui entraîne adultes et enfants dans une rêverie pleine de couleurs et de sons. Sans parôles !

Un cabaret visuel et musical

Selon la légende, les marionnettes du kathputli seraient nées des sculptures de bois du trône d’un roi insomniaque.
Chaque nuit, ces sculptures prenaient vie et se mettaient à danser et à faire des acrobaties pour divertir le souverain sans sommeil. Nuits après nuits, jours après jours, sur les routes nomades du Rajasthan, les marionnettes du kathputli ont traversé les siècles.

Si ces marionnettes fascinent toujours, c’est d’abord par leur extraordinaire beauté. On admire la sculpture dans le bois tendre du manguier, la peinture des visages, les costumes aux couleurs éclatantes, la finesse des étoffes, le scintillement des bijoux…

Un spectacle né d'un voyage

Po

C’est en 1999 à Udaïpur, en Inde, que Sylvain rencontre le grand marionnettiste Puran Bhatt.
Il trouve en lui l’exigence d’un maître et la générosité d’un père.
Puran Bhatt lui enseigne le savoir-faire d’une tradition ancestrale, le kathputli, art de la marionnette à fils que se transmettent de père en fils depuis des générations, les « bhatt » du Rajasthan.
Rentrant de voyage, Sylvain ne peut qu’honorer la demande du maître :
que ces poupées sculptées continuent de danser à travers le monde…

Chanteur et polyinstrumentiste génial, Karim Amari joue aussi bien du sitar que des tablas, de la flûte bansouri, du binn (instrument des charmeurs de serpents) et de diverses percussions : nagara, sambal, dougi tarang. Des instruments inédits ou appartenant à d’autres cultures accompagnent également la manipulation des marionnettes : le bol tibétain, le karkabou (instrument gnawa d’Afrique du nord) et le « chandra tarang », une sélection originale de gongs…
Sa contribution musicale est en soi un véritable concert, et les ambiances sonores qu’il crée en parfaite synchronisation avec les marionnettes sont elles aussi pleines de finesse, de sensibilité.

Dossier à telecharger

Espace scénique minimum :
Ouverture : 4 m
Profondeur : 4 m
Alimentation en 22O V-16 A
Lumière : autonomie possible,
plan de feu joint sur demande
Son : acoustique ou sonorisation,
2 micros, autonomie possible

Jauge maximum conseillée :
250 spectateurs
Public concerné : tout public
dès la petite enfance
Durée du spectacle : 60 mn
Temps de montage : 2h30
Temps de démontage : 45 mn

Un dossier pédagogique peut-être fourni
sur demande pour les interventions en milieu scolaire.

Une version de ce spectacle est proposée pour la petite enfance
Durée du spectacle : 35 mn

Le spectacle peut également jouer avec
le seul marionnettiste accompagné d’un
enregistrement musical